Creating Our Future

 I’m 60 years old. I’ve lived with two paralytic sciatica injuries and a stiff body for years.

I grew up almost as an only child. My brothers were much older and not the best at being brothers. At 12, I had my first back injury. How does that even happen at 12? I didn’t think I was stressed. But looking back, I was… unconsciously.

For years, I made decisions from that place of stress. Even when I went back to school, got a good job, started a family — stress stayed with me. I thought I was building a new life, but deep down, I was still carrying the same pain. My wife’s family wasn’t supportive. I felt unworthy — “just a stay-at-home dad.” I drank to numb it. My back hurt constantly.

Stress had become my identity.

Joe Dispenza says:

“If your body becomes the mind of that emotional state, you live in the past.
Your future can only look like more of the same.”

I see this in my nephew too. My father was hard on him, and he became the same with his son. Now at 36, he’s sick, alone, stuck blaming his past. His body reflects his mind: he suffers from ankylosing spondylitis — a disease that literally locks the body.

So, how do we save ourselves?

It starts with forgiveness.
Forgiving our parents, our spouse, ourselves.

Then, by teaching our body a new future: through meditation, love, and compassion. Not just thinking differently, but feeling differently.

When we meditate, we step out of the loop of past pain and open the door to a new identity — one based on peace, love, and purpose.

In 2013, I started practicing Tai Chi. It didn’t erase my struggles — I still went through a painful divorce — but it gave me tools. It helped me stop living as the man defined by stress, and start becoming the man I wanted to be.

We can’t create a new future while living in the emotions of the past. The real revolution begins inside us — with forgiveness, love, and conscious presence.

J'ai 60 ans. Je vis depuis des années avec deux lésions sciatiques paralysantes et un corps raide.

J'ai grandi presque comme un enfant unique. Mes frères étaient beaucoup plus âgés et n'étaient pas les meilleurs frères qui soient. À 12 ans, j'ai eu ma première blessure au dos. Comment cela peut-il arriver à 12 ans ? Je ne pensais pas être stressé. Mais avec le recul, je l'étais... inconsciemment.

Pendant des années, j'ai pris des décisions sous l'emprise de ce stress. Même lorsque j'ai repris mes études, trouvé un bon emploi et fondé une famille, le stress m'a accompagné. Je pensais construire une nouvelle vie, mais au fond de moi, je portais toujours la même douleur. La famille de ma femme ne me soutenait pas. Je me sentais indigne, « juste un père au foyer ». Je buvais pour m'engourdir. J'avais constamment mal au dos.

Le stress était devenu mon identité.

Joe Dispenza dit :

« Si votre corps devient l'esprit de cet état émotionnel, vous vivez dans le passé. Votre avenir ne peut que ressembler à votre passé. »

Je vois cela chez mon neveu aussi. Notre père était dur avec mon frère, et il est devenu pareil avec son fils. Aujourd'hui, à 36 ans, mon neveu est malade, seul, coincé dans le blâme de son passé. Son corps reflète son esprit : il souffre de spondylarthrite ankylosante, une maladie qui littéralement bloque le corps.

Alors, comment pouvons-nous nous sauver ?

Cela commence par le pardon.

Pardonner à nos parents, à notre conjoint, à nous-mêmes.

Ensuite, en apprenant à notre corps un nouvel avenir : par la méditation, l'amour et la compassion. Il ne s'agit pas seulement de penser différemment, mais aussi de ressentir différemment.

Lorsque nous méditons, nous sortons du cercle vicieux de la douleur passée et ouvrons la porte à une nouvelle identité, fondée sur la paix, l'amour et un but.

En 2013, j'ai commencé à pratiquer le tai-chi. Cela n'a pas effacé mes difficultés — j'ai tout de même vécu un divorce douloureux — mais cela m'a donné des outils. Cela m'a aidé à cesser de vivre comme un homme défini par le stress et à commencer à devenir l'homme que je voulais être.



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